Cai Guo Qiang est un grand malade, mais j’aime son art. Puissant, expérientiel, sensoriel, explosif. A l’image de la “Black Ceremony” où l’artiste a embelli le ciel qatarien de tâches noires puis de couleurs (à voir dans la vidéo à la fin de cet article) à l’occasion de l’ouverture de son exposition au musée arabe d’art moderne Mathaf.
C’est dans cette même exposition commanditée par Mathaf que l’artiste chinois a réalisé un projet colossal nommé “Ninety-Nine Horses”. Le projet est une fresque murale incorporant gravures brûlées, illustrations et sculptures de dix-neuf chevaux en or galopant telle une trainée de poudre dans l’ombre qu’ils procurent.
Roxanne
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