LE BONHEUR AU PAYS DES KIWIS.
À Auckland, en Nouvelle-Zélande, il existe un créateur de bonheur nommé Benjamin Lloyd. Artiste et tatoueur, Benjamin tatoue les enfants malades à l’aide d’un aérographe et d’une encre adaptée. Sans danger pour la peau, non-permanente et surtout sans douleur, cette idée de génie, en plus d’être particulièrement esthétique, vise surtout à booster la confiance en soi de ses modèles.
L’artiste ne s’arrête pas là. Les chevaux dépressifs font désormais partie de son champs d’action. De quoi engendrer de vives réactions en tous genres sur sa page Facebook. L’artiste n’en a que faire : “Mon encre est sans danger pour l’animal et les chevaux sont manipulés avec une grande attention”. Benjamin fait des heureux, et c’est bien tout ce qui compte.
La peinture sans danger pour les chevaux sont de plus en plus courantes, des entreprises comme Glamourati en ont d’ailleurs fait leur fonds de commerce. Ces tatouages éphémères sont de plus en plus prisés par les cavaliers dans le cadre de grandes occasions uniquement : spectacles, concours déguisés, etc.
A l’époque où les Amérindiens dominaient les plaines d’Amérique du Nord, peindre ses chevaux était une pratique culturelle nécessaire et presque un langage à part entière : elle signifiait les accomplissements des guerriers et représentait avant tout un symbole de bravoure.
Roxanne
XXX
Website : Benjamin Lloyd
Soon a Horse
juin 14, 2017Ca claque !